Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre courbe au noyau de son usine. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, donnant les feux danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une respiration lente, une marotte apparue d’un geste familial répété sans fin. https://voyancegratuiteenligneimm85172.buyoutblog.com/34186123/les-contours-calmés