À Orléans, en l’an 2222, la ville ne vibrait plus que par-dessous le chant grave des appareils. L’air lui-même semblait scellé dans un solide vacarme métallique, rompu simplement par le chuintement des véhicules autonomes et les murmures codés des interfaces holographiques. Dans ce décor ultramoderne, un endroit jurait avec l'élégance https://lanelkduk.ka-blogs.com/87476627/les-géométries-de-la-destinee