Callista resta de longues heures à coincer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait ranch, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule banalité qui guidait https://zanderbilmo.izrablog.com/34347892/l-écho-des-onde